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En
fonction de vos sujets d'intérêts et de vos
priorités, nous vous invitons à consulter nos
différentes rubriques, dont visas et formalité,
santé-vaccin,
météo-cartes-itinéraires
(voir menu)
En outre, nous attirons votre attention sur le fait que le
Ministère des affaires étrangères
tient à
jour des fiches sur la plupart des pays. Compte tenu d'un
réseau
assez dense d'ambassades et de consulats, ces informations sont
régulièrement remises à jour.
En conséquence, pour davantage
d'information, Voyadisiac vous
recommande :
. le site du Ministère des affaires
étrangères, plus
précisément sa rubrique Conseils aux voyageurs et sa
rubrique droits et démarches ;
En outre, toujours pour votre information, nous rappelons à
votre attention que Voyadisiac s'engage au respect des principes
préconisés par les grandes instances
internationales et
invite de même son aimable clientèle à
s'y
conformer.
Voyadisiac et ses
partenaires versent la taxe de solidarité.
Qu’est-ce
que la taxe de solidarité ?
Il s’agit d’une taxe
appliquée sur chaque billet d’avion depuis le 1er
Juillet 2006.
Le transport aérien est l’un des principaux
bénéficiaires de la
mondialisation avec une croissance annuelle moyenne de
l’ordre de +5%.
Il est donc légitime qu’il contribue à
redistribuer les fruits de cette
mondialisation.
Cette
taxe de solidarité est appliquée à
toutes les
compagnies aériennes et justement répartie comme
suit :
Vols France et Europe |
1€ / billet en classe
économique |
|
10€ / billet en classe affaires et en
première |
Vols Reste du Monde |
4€ / billet en classe
économique |
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40€ / billet en classe affaires et en
première |
A quoi sert la taxe de
solidarité ?
95% de la taxe de solidarité est
reversée à l’association internationale
UNITAID.
www.unitaid.eu
Les
coûts de gestion sont limités au strict minimum
puisque
l’administration d’UNITAID est prise en charge par
l’OMS (Organisation
Mondiale de la Santé). Ainsi 95% des fonds servent les
objectifs
d’UNITAID.
Les objectifs d’UNITAID sont
de :
- Lutter
contre les 3 pandémies les plus meurtrières
responsables de + de 6
millions de morts chaque année : tuberculose, sida
et paludisme.
- Faciliter
l’accès des plus démunis aux
médicaments,
majoritairement en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud.
Grâce
à la taxe de solidarité, 200 millions
d’€uros par an peuvent être
collectés par UNITAID et permettre ainsi de donner des
médicaments aux
millions d’enfants et d’adultes atteints du sida,
du paludisme ou de la
tuberculose.
En outre, Voyadisiac
soutient l'action de l'ECPAT International qui lutte
contre l'exploitation des enfants dans le monde
TOUTE
PERSONNE COUPABLE D'ATTEINTE SEXUELLE
SUR UN
ENFANT SERA POURSUIVIE DANS LE PAYS DU DELIT
OU DANS SON PROPRE PAYS.
Un fléau mondial |
La demande de touristes sexuels augmente avec la
multiplication des
voyages. Les enfants sont rendus vulnérables par la
pauvreté,
l'éclatement familial et le manque de scolarisation.
Selon
l'Unicef, partout à travers le monde, près de
trois millions d'enfants sont chaque année victimes
d'exploitation
sexuelle dans un cadre commercial.
Un enfant ne fait jamais volontairement le choix de se prostituer.
Enlevés, vendus ou poussés à la rue,
les enfants sont contraints à vendre leur corps.
Ces
enfants sont battus, drogués, violés,
sous-alimentés et exposés à
toutes sortes de maladies dont la contamination par le sida.
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Qui pratique le tourisme sexuel? |
Les touristes sexuels sont issus de toutes les classes sociales et sont
majoritairement des hommes. Ils viennent de tous les pays
développés.
Certains ont une déviance sexuelle, comme la
pédophilie.
Beaucoup
d'autres touristes n'ont pas une
telle préférence. Ces touristes sexuels
occasionnels n'organisent donc
pas leur déplacement avec l'intention d'abuser d'enfants.
Contrairement
à ce que l'on peut croire, les touristes sexuels
occasionnels sont très nombreux.
Leur passage à l'acte est facilité par plusieurs
facteurs :
- sentiment de pouvoir ressenti par certains
touristes occidentaux du fait de leur supériorité
économique,
- désir de nouvelles
expériences,
- absence des contraintes morales et sociales qui
régissent la vie quotidienne dans le pays d'origine,
- sentiment d'impunité lié
à l'anonymat,
- indifférence portée au
partenaire...
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Le tourisme sexuel avec des enfants est
injustifiable |
Des
préjugés erronés : "La
prostitution enfantine constitue un soutien financier pour l'enfant et
sa famille."
FAUX :
La pauvreté ne peut justifier que l'enfant soit
réduit à l'état de
marchandise et d'objet sexuel. Dans la majorité des cas,
l'argent ne va
pas à l'enfant ou à sa famille mais à
des proxénètes.
"Les
traditions culturelles de ce pays permettent d'avoir des relations
sexuelles avec un enfant."
FAUX : L'exploitation
sexuelle commerciale des enfants est universellement
réprouvée et
interdite par la Convention internationale des droits de l'enfant,
ratifiée par 191 pays.
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...Il s'agit TOUJOURS et PARTOUT d'une VIOLATION
INACCEPTABLE des DROITS DE L'ENFANT. |
Contre l'impunité |
Ces dernières années, de
nombreux pays du Sud ont décidé de
protéger
leurs enfants contre les touristes sexuels et ont adopté des
lois très
sévères. De nombreux ressortissants occidentaux
purgent de lourdes
peines de prison dans des pays de destination du tourisme sexuel pour
des abus sexuels commis sur des mineurs.
Les pays
émetteurs de touristes ont eux
aussi adopté des lois permettant de punir leurs
résidents pour des
crimes sexuels commis sur des enfants à
l'étranger.
En France, de tels actes sont passibles de 7 ans de prison et 100 000
Euros d'amende. La peine peut être portée
à 20 ans de réclusion
criminelle dans certaines circonstances. Les tribunaux
français ont
déjà condamné à plusieurs
reprises des actes de tourisme sexuel avec
des enfants.
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ABUSER D'UN ENFANT EST UN CRIME
PUNI PAR LA LOI. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE SE COMPORTER
IMPUNÉMENT LOIN DE SES FRONTIÈRES. |
Que faire pour participer à la lutte |
Au cas où vous seriez témoin
de l'exploitation sexuelle d'un enfant
pendant vos voyages, parlez-en à votre guide, à
votre hôtel, à votre
voyagiste, à votre ambassade, à la police ou
à des associations de
protection de l'enfance. N'hésitez pas à signaler
tout prestataire
local qui se serait rendu complice.
Source de ce texte et informations complémentaires :
ECPAT
: http://www.ecpat.net
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